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Titre : | L'utopie urbaine au 20. siecle : Ebenezer Howard, Frank Lloyd Wright, Le Corbusier |
Auteurs : | Robert Fishman, Auteur ; Pierre Guillitte, Traducteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Pierre Mardaga, 1979 |
Collection : | Architecture + Recherches |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87009-111-1 |
Format : | 223p / Broché . ill. / 22 cm |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 711 (Urbanisme. Aménagement du territoire) |
Mots-clés: | urbaine siecle Le Corbusier |
Résumé : |
La cité idéale du vingtième siècle existe-t-elle ? Existe-t-il une ville qui allie parfaitement la puissance et la beauté de la technologie moderne avec les objectifs les plus éclairés de justice sociale ? Entre 1800 et 1930, trois urbanistes, Ebenezer HOWARD, Frank Lloyd WRIGHT et LE CORBUSIER, ont tenté de répondre à cette question. Chacun d'eux a d'abord conçu une ville utopique, qu'il a minutieusement dessinée jusque dans les moindres détails, et pour laquelle il a prévu des innovations importantes dans les domaines du logement, des transports et d'autres aspects urbanistiques. Tous les trois se sont ensuite efforcés de transformer leur ville utopique en réalité. Les trois projets sont analysés en profondeur dans L'utopie urbaine au XXe siècle. En partant de schémas, d'esquisses, de manuscrits et de lettres encore inédits, l'auteur a reconstruit le fascinant contexte historique dont les trois projets sont issus. En premier lieu, Ebenezer Howard a conçu l'idée de la « Cité-Jardins », située dans une campagne non polluée, sur un domaine qui resterait la propriété de la communauté qui s'y établirait. « Broadacres », la ville sans enceinte de Frank Lloyd Wright, met l'accent sur la décentralisation et la désindividualisation; on y accède par un réseau d'autoroutes. Le Corbusier, en opposition directe avec Wright, estime que les villes ne sont pas assez denses : sa « Cité Radieuse » sera un ensemble de gratte-ciel de verre et d'acier, situés dans des parcs. Fishman montre l'origine utopique de ces trois projets, les innovations sociales que les architectes espéraient réaliser et les efforts vains mais héroïques qu'ils ont faits pour imposer un projet « parfait » à un monde imparfait. L'auteur conclut en affirmant qu'il existe des relations entre nos crises actuelles et ces villes idéales et en montrant la nécessité urgente d'amélioration des villes et la persistance d'une vision utopique en tant qu'idéa |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |